Offrons un joyeux Noël à tout le monde
En Suisse, l’EPER est proche de toutes celles et tous ceux qui se retrouvent dans une grande vulnérabilité : personnes au chômage depuis longtemps, sans papiers, réfugiées, migrantes et âgées, sans abri ou souffrant d’une addiction.
Grâce à votre don, ces personnes confrontées à une situation critique retrouvent de l’espoir, des perspectives professionnelles et une vie sociale épanouie.
Tenir son ménage n’est pas évident pour tout le monde. Une crise existentielle grave, un problème d’addiction, des troubles psychiques ou une sortie de prison peuvent faire basculer la vie d’une personne. L’EPER accompagne ces personnes à leur domicile et leur offre un soutien si nécessaire, par exemple pour tenir leur ménage, gérer leur courrier ou surmonter des situations difficiles au quotidien.
Les personnes migrantes d’un certain âge connaissent mal le système social suisse, les aides qui existent pour elles et les offres des institutions publiques. L’EPER leur fournit des informations autour des questions sociales, économiques, juridiques et de santé liées à l’âge. Elle organise également des rencontres conviviales. Les personnes âgées peuvent ainsi construire cette troisième phase de leur vie en toute autonomie, tout en jouissant d’une bonne qualité de vie.
Les répercussions sociales et économiques de la pandémie de coronavirus touchent de plein fouet les personnes les plus précarisées. A Genève, elles étaient plusieurs milliers à faire la queue pour obtenir un sac de nourriture. Les collaboratrices et les collaborateurs des Permanences volantes ont bien senti le désespoir – toujours croissant – des sans-papiers. Chaque jour, ils ont répondu à une centaine d’appels de personnes inquiètes et ont distribué des bons d’achat alimentaires aux plus démunis.
Le chômage touche de nombreuses personnes en Suisse. Outre les répercussions financières, les chômeuses et les chômeurs de longue date sont souvent stigmatisés par la société et isolés socialement. EPER Visite les aide à trouver des missions régulières. En s’adonnant à une occupation qui a du sens, ils nouent des liens et renforcent leur estime de soi.
Traumatisées par leur exil, les personnes réfugiées ont souvent du mal à apprendre une nouvelle langue une fois arrivées en Suisse. Les Nouveaux Jardins permettent aux familles réfugiées de faire une activité qui a du sens, de se détendre et de rencontrer d’autres personnes. En jardinant avec des bénévoles, elles apprennent les us et coutumes du pays et améliorent leur niveau de français.