Nos prises de position

Les organisations réunies au sein de la coalition « Chrétien.ne.s pour la protection du climat » soutiennent la loi climat (contre-proposition à l'initiative pour les glaciers), qui sera votée en juin 2023. Dans cette loi, la coalition voit une manière socialement et économiquement responsable d'atteindre les objectifs climatiques.

Peu de temps après le 24 février 2022, l’EPER a pu déployer des équipes, des moyens et du savoir-faire pour épauler ses organisations partenaires sur place en Ukraine et dans les pays limitrophes.

Le violent séisme qui s’est produit à la frontière turco-syrienne a détruit de nombreuses infrastructures et causé d’immenses souffrances pour les personnes sur place. L’EPER est active depuis des années dans les régions particulièrement touchées du nord de la Syrie, où elle travaille avec plusieurs organisations ecclésiales partenaires. Ces dernières ont pu mettre en place des premières mesures d’aide d’urgence quelques heures à peine après la catastrophe.

L’audience de conciliation, qui s’est tenue en octobre 2022, s’est soldée par un échec. Aujourd’hui, quatre habitant·e·s de l’île indonésienne de Pari, qui risque de disparaître sous les eaux, engagent donc une action en justice contre le groupe cimentier suisse Holcim.

La stratégie pose les bases pour appliquer de manière cohérente notre vision – celle d’un monde juste, dans lequel la dignité de tous les êtres humains est respectée, la paix règne et les moyens de subsistance naturels sont respectés.

Le Conseil des Etats se positionne en faveur d'une motion qui permettra une extension relative aux cas de rigueur dans le domaine de l'accès à la formation professionnelle. Le Conseil des Etats confirme ainsi la décision du Conseil national. Pour la Plateforme sans-papiers Suisse, le fait que le Conseil des Etats souhaite adapter la réglementation actuelle, qui n'est pas praticable, est une étape importante.

En Suisse, les personnes admises à titre provisoire ne pouvaient jusqu’ici faire venir leur famille qu’après un délai d’attente de trois ans minimum. Grâce à un recours déposé par une juriste du Service d’Aide Juridique aux Exil·é·s (SAJE) de Lausanne, le Tribunal administratif fédéral (TAF) a revu sa jurisprudence en la matière : désormais, le droit à la vie familiale pourra, dans des cas spécifiques, être pris en compte avant la fin du délai de carence de trois ans. 

In der Schweiz konnten geflüchtete Menschen mit einer vorläufigen Aufnahme bisher ihre Familienangehörigen frühestens nach einer Wartefrist von drei Jahren nachziehen. Dank der Beschwerde von HEKS hat das Bundesverwaltungsgericht nun seine Rechtsprechung angepasst: Ab sofort muss bereits vor Ablauf der dreijährigen Wartefrist das Recht auf Familie im Einzelfall abgewogen werden. 

Le rapport publié aujourd’hui par l’Office fédéral de la justice montre clairement le retard de la Suisse par rapport à l’UE en matière de responsabilité des multinationales. Mais plutôt que tenir sa promesse formulée lors de la campagne de votation de 2020, le Conseil fédéral opte pour des manœuvres dilatoires.